Où que l’on achète ses fruits, il y a quelques gestes, quelques choix pour limiter ses dépenses et/ou son impact sur l’environnement.
Vérifier le prix au kilo
Comme pour de nombreux produits, les présentations varient : en vrac, en cagette, à l’unité, au kilo, en barquette…
Et, malgré les promotions annoncées, ce ne sont pas toujours les produits bénéficiant de réductions qui sont les moins chers. En vérifiant le prix au kilo, il sera possible de savoir lequel des produits proposés est le moins chers.
Acheter petit, mais plus nombreux
Beaucoup de nourriture finit jetée à la poubelle (qui sait, au compost ?) mais autant de gâchis humain et financier.
Pour limiter cela, il y a deux possibilités :
- acheter moins, mais plus souvent. Cela évite que les fruits s’abîment et permet de renouveller afin d’en avoir toujours des frais, qui conservent plus de qualités nutritionnelles.
- acheter des fruits plus petits. Cela évitera que les enfants ne finissent pas des fruits, trop gros pour eux. Et pour le même prix, il y aura plus de rations, même un peu plus petites.
Acheter de saison et local :
En achetant des fruits de saison, on mange des fruits qui se développent avec les conditions du moment : leur croissance et leur maturité ne sont pas « forcées » (engrais, chauffage…) , leur arrosage n’est pas délétère pour les nappes phréatiques.
Et, on peux penser, que les fruits du moment correspondent aux besoins « du moment » de notre organisme…
Voir les fruits et légumes par saison ici.
Voir notre article : Pourquoi consommer local ?
Ne pas payer de matière superflue :
Quand on achète en vrac, on paie en fonction du poids.
Or, certains éléments, qui ne se mangent pas, sont payer le même prix que la partie comestible du fruit. Par exemple, on paiera le même prix la queue et les feuilles de clémentines, que le fruit lui-même : au final, quelques centimes d’euros supplémentaires, pour des parties qu’il n’est pas envisageable de manger…
Acheter non traités :
C’est l’idéal.
Effectivement, quand on achète des produits traités, il est préférable de ne pas en manger la peau, sur laquelle, généralement, se trouve la plus grande concentration de produits chimiques. Et malgré tout, ces derniers sont entrés dans la chair du fruit et donc ingérés.
De plus, en enlevant la peau, on perd des bioflavonoïdes, intéressants pour notre santé.
Acheter en vrac :
Quelques avantages de l’achat en vrac
- généralement, en vrac, le prix au kilo est plus bas.
- on limite les emballages.
- on choisit (sans cogner ni abîmer) les fruits à la maturité qui nous convient ainsi que leur taille et la quantité
- on choisit les fruits sans les feuilles, queues qui alourdissent l’ensemble et donc le prix.